Enigmes et impossibilités géologiques




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Paléo-climatologie : aberrations

Les énigmes en matière de géologie sont extrêmement nombreuses. Je cite ici des faits relatifs à la paléoclimatologie (climat des temps anciens), autrement dit aux élucubrations des évolutionnistes pour expliquer les couches géologiques sur le plans des climats des temps anciens ; le créationnisme athée de Elohim est une répnse parfaiteent adaptée pour expliquer scientifiquement ces faits…

Dans le livre « Paléontologie des vertébrés », édité chez Dunod Université, on peut lire, page 452 : « Pour les couches du Précambrien [ère géologique datée par les évolutionnistes de1,5 milliard à 600 millions d’années BP*, et dans lesquelles on ne retrouve quasiment pas de faune ni de flore], on possède des indices de climats froids (les tillites) et d’autres indices de climats chauds (formations rouges) qui s’opposent dans l’espace et le temps. » Plus loin, on lit : « La glaciation éocambrienne ( entre –1 milliard d’années et –600 millions d’années ), a une répartition qui se comprend mal. » Pire, on observe souvent des glaciations à l’endroit de ce que fut l’ancien équateur !

Dans le magazine « Sciences et Avenirs » de juillet 1984, on peut lire un article intitulé « Les climats étranges des premiers âges » datés par les évolutionnistes de –600 millions d’années jusqu’à –235 millions d’années (ère primaire). Page 53, « Un grand calme régnait sur cette Terre qui ignorait les vents violents, les fortes pluies et les dépôts d ‘alluvions. […] Ces conditions sont difficilement imaginables sous n’importe quelle latitude à la surface du globe. » « Les couches de grès racontent pour leur part de vrais cataclysmes. ». Page 54, « Les dépôts de sels étonnent aussi, ils montrent des mécanismes sédimentaires sans équivalent de nos jours. » « En Afar, le lac Assal est insignifiant sur le plan quantitatif. » Georges Busson ajoute : « Je me refuse à admettre qu’il suffise de faire jouer les temps géologiques pour le transformer en millions de mètres cubes absolument pur. […] En effet, les dépôts de sels actuels sont très impurs. » « Tout cela n’a rien à voir avec ce qui se passe aujourd’hui. En un sens, c’est même trop. Car on ne comprend plus. » Page 56, « Au pôle nord de l’époque, on ne trouve nulle trace de glace. Tandis qu’à l’équateur, il y a des traces multiples de glaciations gigantesques, sans qu’il y ait la moindre trace de hautes montagnes. » « Mais il y a pire, du côté du Hoggar, qui montre des encroûtements ferrugineux, évoquant un climat humide, et, simultanément, des façonnages de types désertiques, comme si deux climats différents s’étaient mélangés !!!! » [ D’autres dispositions géologiques ] « ont de quoi faire hurler les astronomes. » « Plus loin encore dans le temps, la fin du précambrien déroute encore plus. Les niveaux géologiques qui prouvent des glaciations se trouvent au voisinage de dépôts carbonatés, qui, eux, sont considérés comme des traces de mers chaudes. La contradiction avec les normes est totale. » « Avec tout cela, on se trouve devant l’ énigme absolue. ». Je rappelle que je démontre dans le chapitre V que tout ceci s’explique très rationnellement, et surtout très simplement.

Les cyclothèmes : le bricolage des évolutionnistes

Les cyclothèmes sotn le fait que des centaines d'exemplaires de 3 (ou 2 ou 4) séries de couches géologiques e rettouvent jusqu'à 400 fois de suite de manière bien régulière, bien sages sur parfoparfois 2 kilomètres d'épaisseur. les évolutionnistes expliquent cela en disaznt que la mer est arivée, puis s'est retire, puis un fleuve est arrivé, puis s'eest apparu un terrain sec ou forestier.... Cela pourraiot se faire ....mais le problème est que ces 4 périodes de temps géologiques, la Théorie de l’Evolution suppose donc que, pour ces 400 couches :

  • LES MEMES VEGETAUX se sont trouvés AUX MEMES ENDROITS
  • pendant LES MEMES PERIODES DE TEMPS
  • sans qu’on sache vraiment comment la houille se forme
  • il faut que LA MEME COUCHE de grès intermédiaire se dépose pendant LA MEME PERIODE DE TEMPS
  • en formant LES MEMES CARACTERES LITHOGRAPHIQUES des couches géologiques, CYCLIQUEMENT
  • et le tout 400 FOIS DE SUITE
Mais la cause de ces mouvements est inimaginable, et on n’a jamais constaté de tels mouvements à l’heure actuelle [comme si le sol s’enfonçait et se relevait comme le fait un balancier d’horloge, avec la même régularité de métronome]. »

A propos de ces mouvements d'enfoncements et de surrection vers le haut, on peut lire, toujours dans le même ouvrage ("Paléontologie des vertébrés"), page 421 : « La mobilité continentale, c’est- à-dire la dérive des continents, pose des problèmes insolubles aux géophysiciens. »............. « Des calculs montrent que la force d’inertie invoquée par Wegener (le premier théoricien de la dérive des Continents au cours du XX° siècle) est insuffisante pour mouvoir les continents. »


L'énigme des « paléosols » et des racines-fossiles.

Qu’un sol se fossilise en place est déjà un phénomène inexplicable par l’évolutionnisme, car c’est un phénomène catastrophiste. Mais, que les racines se fossilisent en place, est, cette fois-ci, terriblement énigmatique !  Les données des « sols fossiles » indiquent qu'ils ont été formés dans des conditions de températures et de pressions incommensurablement différents de ce qu'en dit l'évolutionnisme....... et en particulièrement conformément au créationnisme athée des Elohiim
Les formations fossilifères montrent-elles le Souvenir « dans la pierre » d'une Gigantesque Catastrophe Planétaire ? L'aridité du sol a été figée par l'Atome diluvien ?  - - Les racines fossilisent, alors que les bactéries sont présentes par centaines de milliards de milliards dans la natue...
VOIR PAGE ______________

La dérive des Continents est contredite par la physique et la mathématique ... mais .. elle a eu lieu... - Silence des médias et des évolutionnistes...

Wegener expose sa théoride la dérive des Continets en 1912, mais elle n'est accdptée par obligatio qu'en 1960...

En 1912, Wegener propose sa théorie de la dérive des continents. Tout le monde s’y oppose jusqu’en 1960.
En 1928, Jeffreys démontre par des calculs très simples les données suivnates :
  • la Terre est trop résistante pour qu’une telle force puisse la déformer, même légèrement : l’écorce et le manteau sont trop rigides pour supposer des courants de convection
  • quant à l’énergie disponible, elle est trop faible pour permettre de tels déplacements
  • même dans le cas que la planète soit peu résistante, les chaînes montagneuses s’effondreraient sous leur propre poids, et le fond des océans serait absolument plat, ce qui n’est pas du tout le cas…
  • même si cette force marémotrice des courants de convection était assez puissante pour déplacer les continents vers l’ouest, elle arrêterait la rotation du globe en moins d’un an
  • les montagnes se forment du côté du déplacement, cela suppose que la croûte terrestre résiste à la dérive des continents.
  • pourquoi n’existe-r-il qu’un seul continent originel si l’apparition du continent est due au hasard, pourquoi n’y-t-il pas des lambeaux de continents originels ?
Finalement, en 1960, les scientifiques de tous bords acceptent définitivement la dérive des continents. Parce qu’il est évident que les continents sont complémentaires géométriquement les uns avec les autres…


La vitesse de La Dérive : mesures absurdes !

Mais il se trouve également que les vitesses de la dérive sont aberrantes pour l’évolutionnisme. Les basaltes tholéïétiques en formation dans la croûte océanique ont la forme de coussins si et seulement si le matériau monte du manteau à la vitesse d’1/10.000 de centimètre par seconde. Or, les 3500 km de croûte océanique en formation depuis 200 millions d’années supposées de l’évolutionnisme mène au chiffre de 1/ 18.000.000 de centimètres par seconde :
( 3500 x 1000 x 100 ) / ( 200 x 1.000.000 x 365 x 24 x 3600 ) = 1/18.000.000
La vitesse d’expansion océanique observée actuellement est donc 1800 fois plus élevée que celle calculée d’après les théories évolutionnistes. Comme les évolutionnistes ont basé leur croyance sur l’actualisme, il apparaît dans ces chiffres une opposition tout à fait inacceptable au plan scientifique... En effet, la vitesse est approximativement 2000 fois plus élevée que celle calculée d’après l’évolutionnisme ; on peut donc conclure globalement que la Dérive est plus rapide que selon la théorie de l’évolution. Tout devrait être clair désormais.

Dans le livre « La dérive des continents », édité par le magazine « Pour la science », collection « Bibliothèque » et diffusé par Belin, on peut lire:
  • page 210 : « Des fossiles de la même espèce de sauriens* se trouvent aux Etats-Unis, au Portugal et en Tanzanie. » « Il est difficile de nier la ressemblance des dinosaures africains et nord-américains
  • « cela pose un problème chronologique qu’aucune reconstitution de la dérive des continents n’a réussi à résoudre. »
  • « Il en est de même pour trois espèces de sauropsidés* présents en Amérique du Sud et en Inde. […] Or ces masses continentales, [d’après la théorie de l’évolution] étaient séparées depuis 100 millions d’années… »
  •  « Nous n’avons jamais compris la dynamique des mouvements et les implications géologiques de la tectonique des plaques. » 
  • Page 55, on lit : « A ce jour, il n’existe pas d’explication satisfaisante de tous les phénomènes [liés à la dérive des continents]. »

Page 95 :
  •  « l’hypothèse des courants de convection est inconciliable avec le fait que l’expansion des fonds océaniques s’effectue à partir de structures linéaires, fragmentées et décalées par des failles transformantes*. Des cellules de convection* ne devraient pas présenter une géométrie aussi complexe. »
  • « cette hypothèse s’applique difficilement à la plaque africaine coincée entre la dorsale medio atlantique* et la dorsale de Carlsberg : cette plaque croît sur deux côtés sans que cela soit compensé par une zone de subduction* intermédiaire. Il serait vraiment bizarre que des courants de convection ascendants puissent se déplacer au gré du mouvement relatif des deux dorsales. »
  • « la cause de la tectonique des plaques se heurtent à de véritables impossibilités mathématique […] »
Ce qui se résiume apr
  1. évidence de la dérive des Continents...
  2. mais impossibilité de rationaliser la cause ou les causes de la Dérive !
CELA SIGNIFIE EXACTEMENT QUE LES CONTINENTS N'ONT PAS PU DERIVER POUR DES RAISONS NATURELLES.......



Le scénario global de la dérive : plutôt bizarre ...

A l'Ere primaire [[-500Ma B.P. = traditioonnelmlment, il y a 500 millions d’années]], quatre morceaux de continents « apparaissent », comme par miracle, sans qu’on sache pourquoi et comment : les évolutionnistes ne disent rien sur ce miracle, qui est pourtant énorme !! Soit. Ces quatre morceaux de continents se nomment la Laurentia, la Sibérie, la Baltica, et le Gondwana. Ces quatre fragments « apparaissent » au niveau exact de l’équateur. Les évolutionnistes disent que ce sont les « courants de convection » du manteau sous la croûte terrestre qui sont responsables de cette [soi-disante] dérive… jusqu’à… former un seul continent, harmonieux, serein, unique… Là aussi, comme si « l’unité » était recherchée ! Bon , soit ! Mais le problème ( enfin, un des problèmes, encore un problème ), c’est que les courants responsables de la dérive qui les amenés à se réunir sous la forme d’un bel haricot blanc, ces courants s’arrêtent tout d’un coup  : les fragments de continents se rassembleent en un seule, par magie ... Comme si les morceaux de continents s’étaient dit : « Ah ! Ca y’est, on est réunis, alors maintenant, on va se séparer à nouveau »… En effet, les courants de convection se sont alors INVERSES ! Cela est aberrant du point de vue de l’étude du manteau terrestre, .




Il y a soi-disant 510 millions d'années : les continents apparaissent !




Image prélevée sur : http://oceanservice.noaa.gov/news/weeklynews/aug09/arcticmap.html

TRADUCTION DU TEXTE EN BAS DE L'IMAGE :
Cette illustration explique comment un pays peut définir son plateau continental. Un pays peut utiliser soit la ligne de contrainte pour définir les limites extérieures de son plateau continental : soit 350 miles nautiques au large de la ligne de base, soit 100 miles nautiques au large du contour de profondeur de 2.500 mètres (isobathe). (ZEE: Zone économique exclusive, une zone qui s'étend sur 200 miles nautiques au large de la côte.)
nnnnnnl'apparition des Continents serait possible de manière spontanée, certes ...
MAIS :
  • les continents ont une altitude (entre 1m et 8 km / Himalaya)
  • le talus continental s'étend sur 350 Miles Nautiques (NM : cf figure à coté), soit 650 km, puis la profondeur tombe à 2500 mètres (2,5 km) au niveau du Talus Continental (et cela sur toutes les bordures des continents) :



Les continents sont réunis en un seul : son nom est « La Pangée ».



Les Continents se refragmentent et dérivent dans l'autre sens (!!!)
(On ne comprend pas ; et la théorie officielle de « courants de convection » est complètement idiote
et est opposable à des dizaines d'impossibilités mathématiques.




Ce dessin représente les continents quasiment à leur place d'aujourd'hui ; « presque », dira-t-on...