5 séries de faits qui contredisent l'évolutionnisme



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Fait n°1 : Le casse-tête évolutionniste des Termitières...




Autre énigme biologique : le cas des termites et de leur termitière. Il faut avoir l’estomac solide pour digérer ce qui suit, car ce n’est vraiment pas digeste pour un évolutionniste qui recherche la vérité… Je m’explique. Les termitière naturelles, celles qu’on trouve dans les forêts, les savanes et tout autre habitat naturel, sont des « tumulus » , en forme de tours, qui s’affinent vers la hauteur. Les termites, par dizaines de milliers d’individus, vivent à l’intérieur, dans ce labyrinthe, avec ses chambres, ses couvées, et la chambre nuptiale, vers le bas du tumulus, salle gigantesque où la reine pond ses œufs tout le long de l’année. Cette société animale, non seulement est aussi compliquée à expliquer que celle des abeilles ou des fourmis, mais c’est leur habitat qui est des plus ingénieux qui soit ; or, quand moi, je dis « ingénieux », je pense, logiquement, à « ingénieur », à « Créateurs », concepteurs de cette invraisemblable manipulation des mathématiques, de la physique des fluides, et de l’aérodynamique… Je m’explique. Les termites vivent dans ce lieu quasi-clos ; il y a bien quelques ouvertures pour entrer dans ce palais qui dépasse souvent les cinq mètres de hauteur, pour des animaux, qui mesurent moins de deux millimètres de long !! Mais ce qui est invraisemblable, c’est l’aération de la termitière… Vue de haut, elle est quasiment circulaire. Or, il y a des courants d’air qui se dirigent contre les parois… Mais le tumulus contenant lui-même de l’air, l’air oxygéné du dehors ne peut pas, a priori, entrer dans ces galeries minuscules du fait même que la pression de cet air lui-même. Mais, comble du miracle, les termitières-tumulus sont toujours orientées à 90° par rapport aux vents. Je m’explique. Le vent tape contre une paroi sans perforation / galeries. Mais la physique des fluides intercédant avec l’aérodynamisme circulaire du tumulus (vu du haut bien sûr), l’air poussant la paroi, et courant le long de la circonférence, crée une surpression en air à l’endroit même où l’air tape contre le tumulus. Or, cette surpression provoque une dépression à 90° de là ; or, c’est justement là que se trouve les deux entrées de galeries ! La dépression d’air à l’entrée des galeries permet à l’air des galeries de sortir, et ainsi de renouveler l’air qui se trouve dans tout le tumulus !

Voici un dessin, vu du haut, de la termitière.




Mais il faut connaître également les causes de la ponte et du maintien de la reine comme unique individu qui puisse pondre. En effet, comment se fait-il que l’« Evolution » aurait engendré une société avec une seule pondeuse, et que cet individu serait démesurément gigantesque par rapport aux individus « soldats » et « ouvriers » ? En fait, la reine existe grâce aux phéromones royales. Et s’il existe un seul individu-reine, eh bien c’est parce que la reine émet des substances chimiques qui empêche que les individus « ouvriers » et « soldats » se transforment en… reine !!! Et dès que quelques individus quittent le tumulus pour aller vivre ailleurs, eh bien c’est toujours par miracle que les quelques centaines d’individus sélectionnent un seul et unique individu qui deviendra « reine pondeuse », concomitamment, synchroniquement, etc. Sans que bien sûr il y ait plus d’une reine… Mais le plus fantastique, c’est que toutes ces régulations physiologiques sont régulées génétiquement…
Sérieusement, comment admettre rationnellement que ce patrimoine génétique se soit mis en place tout seul ?

Quant à considérer les composants du tumulus, il faut savoir que c’est le mélange de la bave de termite avec la terre qui constitue la matière de la termitière. Mais quand on se dit qu’il existe des millions, voire dépassant la dizaine de millions, d’espèces de bactéries, on peut s’étonner franchement que pas une seule ne détruise la composition chimique de la termitière ! Or qui dit dizaine de millions d’espèces, dit centaines de millions de milliards d’individus bactéries… Et quoi, pas une seule n’attaquerait la termitière, malgré le dieu Hasard, qui fait n’importe quoi, dans la définition mathématique la plus mathématique ??? Certains se diront : « Eh bien, il faut bien que l’« Evolution » ait empêché l’apparition de bactéries détruisant la structure chimique de la termitière, puisqu’on constate que les termitières résistent à toute faune bactérienne ! ». Mais ceci n’est pas une réponse adéquate, puisque justement, la théorie de l’évolution ne doit pas s’auto-prouver, elle devrait être démontrable, ici et maintenant, alors que, disant cette phrase, les évolutionnistes font de la religion : ils "auto-prouvent" l'évolutionnisme et ne prouvent rien...






Fait n°2 : Les évolutionnistes parlent comme des ingénieurs de fabrication... Comme le feraient des bio-ingénieurs de biologie synthétique... Bizarre, pour des anti-créationnistes

Article paru dans « Science et Vie » de novembre 2003.
Cet article parle de la « théorie constructale », il s’agit d’une théorie d’ingénierie, donc une théorie physique, les évolutionnistes ont décidé de l'applqiquer aux êtres viavants...

Je cite l’article, page 54, assez difficile :
« Pour qu’un système naturel persiste dans le temps, résume Adrian Bejan, il doit évoluer de telle manière qu’il fournisse un accès plus facile aux flux qui le traversent. »

L’article poursuit pages 54 et 55 :
« Poumons humains, plumes d’oiseaux ou craquelures du sol, toutes les structures vivantes ou inertes peuvent donc être désormais réexaminées avec les lunettes de l’ingénieur, en les considérant comme des systèmes énergétiques soumis tout à la fois à des flux, des contraintes et des objectifs. Par exemple, le raisonnement constructal permet d’expliquer pourquoi les diamètres des vaisseaux sanguins de notre corps se réduisent d’un facteur constant à chaque embranchement, pourquoi les oiseaux volent en groupe serré ou encore pourquoi les lits des rivières sont en demi cercle. »

L’article est effectivement très attirant pour un évolutionniste, mais en réalité, il ne démontre, objectivement, strictement rien sur l’apparition de ces formes au plan de la génétique moléculaire. Or, on sait de la manière la plus exacte depuis la découverte en 1953 de la double hélice d’ADN par les Docteurs Watson et Crick que c’est bel et bien l’ADN qui est à l’origine biologique et « néonatale » des êtres vivants.

Appliquée à l'évolutionnisme, cette théorie physique, est du pur lamarckisme...


Rappel:
Le lamarckisme est une théorie explicative de l’« évolution » des espèces donnée par Lamarck en 1809, soit 50 ans avant Charles Darwin; mais Darwin, lui, avait donné le concept bien rationnel et surtout vérifié tous les jours, de la sélection Naturelle....
Mais Lamarck affirme, lui, que c’est le milieu environnemental qui transforme les formes biologiques et les fait « évoluer » « vers » d’autres espèces. Or, dans la théorie constructale, il s’agit bien de cela ; je cite l’article pages 56 et 57 :
« La forme globale de l’os émerge de la somme d’optimisation locales. Des capteurs mesurent en permanence la pression de l’os et L'OBLIGENT [[sic]] à mettre de la matière là où (ceci est de la prestidigitation, de la magie blanche) elle est la plus forte ».

Les évolutionnistes savent bien que le lamarckiste est farfelu.... Mais on y revient périodiquement parce qu'on ne comprend rien aux causes supposées de l' "Evolution".... Alors, on se prend une cuite de temps en temps en ressortant ces absurdités du lamarckisme, qui n’a rien à voir avec ce qu’on sait de la manière la plus certaine sur l’ADN et la génétique moléculaire (c’est à dire la succession des molécules d’ADN qui porte l’ensemble des gènes, qui, eux, sont effectivement responsables de la forme biologique, physiologique, anatomique, etc.), et c'est aussi évident que vous êtes en train de regarder un écran d'ordinateur en ce moment. ON NE PEUT ECHAPPER au caractère complètement délirant du lamarckisme.... Et ce depuis 1953

Rappel : 1953 = année de la Découverte de l'ADN, support de l'information génétique





FAIT n° 3 : Le comble ! Les chromosome Y est prévu pour ne pas subir de mutations...


http://www.cyberpresse.ca/sciences/article/1,152,326,062003,341665.shtml
Il est solitaire mais débrouillard. Des chercheurs ont découvert que le chromosome Y, caractéristique du sexe masculin chez l'homme, utilisait une astuce pour réparer ses gènes les plus importants et les empêcher ainsi de disparaître sur le long terme, selon une étude américaine publiée jeudi dans la revue Nature. Des chercheurs ont émis l'hypothèse que le «Y» pourrait disparaître dans des millions d'années parce qu'il ne peut éliminer des défauts génétiques comme les autres chromosomes et parce que les gènes défectueux ont tendance à disparaître au cours de l'évolution de l'espèce. La nouvelle étude donne des raisons d'être plus optimiste sur l'avenir des chromosomes Y. Ils «ont vraiment un sacré tour dans leur manche», souligne David Page, de l'Institut Whitehead pour la recherche biomédicale à Cambridge (Massachusetts), qui a dirigé l'étude. On savait déjà que cette astuce se produisait occasionnellement dans l'ADN humain, mais la surprise est que le chromosome Y l'utilise comme une procédure standard, souligne le chercheur. Les travaux menés à l'Institut Whitehead et à l'école de médecine de l'université Washington à Saint Louis constituent la première analyse complète et détaillée du code génétique du chromosome Y. C'est «une étape importante pour l'histoire de la différenciation sexuelle», estime le Dr Francis Collins, directeur de l'Institut de recherche national sur le génome humain (NHGRI). L'homme possède 46 chromosomes par cellule, qui sont groupés en 23 paires. Dans chacune un chromosome vient de la mère et l'autre du père. Toute les paires sont identiques, sauf une, qui porte sur la détermination sexuelle de l'individu. Chez la femme, cette paire est composée de deux chromosomes X, tandis qu'elle se présente sous la forme d'un X et d'un Y chez l'homme. Le Y ne peut réparer ses gènes selon la méthode habituelle car il ne rencontre pas d'autres chromosomes de son espèce. Les autres chromosomes se présentent sous la forme de paires semblables et peuvent ainsi s'échanger des pièces correspondantes, un mécanisme qui permet à l'espèce de se débarrasser de gènes endommagés. Le Y n'a pas de véritable alter ego. Il ne peut échanger de grandes quantités d'ADN avec son partenaire, le chromosome X. Selon la nouvelle étude, il utiliserait à la place un processus appelé conversion génétique: le chromosome est porteur de copies de secours de ses principaux gènes, qu'il pourrait exploiter pour corriger un défaut. M. Page souligne que la «réparation» peut avoir un coût. Lorsque le chromosome fait une erreur dans la procédure, il peut effacer des bandes d'ADN. Cet accident est une cause reconnue de stérilité masculine.

Mais certains lecteurs ont peut-être eu accès à l’article paru dans « Science et Vie » de novembre 2003. cet article parle de la « théorie constructale », il s’agit d’une théorie d’ingénierie née deux ans auparavant mais que la revue scientifique expose seulement fin 2003 parce que, vous allez le comprendre, il s’agit justement d’une théorie d’ingénierie !! Et les évolutionnistes, tout de go, de l’appliquer aux être vivants. Mais ce n’est que du verbiage !! C est une théorie extrêmement séduisante pour un évolutionniste, et il y a de quoi. Mais je parie tout ce que je peux que dans quelques temps, le fond évolutionniste de l’article sera démenti. Et je m’explique.

Je cite l’article, page 54, qui est très difficile d’accès : « Pour qu’un système naturel persiste dans le temps, résume Adrian Bejan, il doit « évoluer » ( c’est moi qui souligne, pour bien montrer que l’auteur de la nouvelle théorie perd totalement son objectivité : il est évolutionniste et cherche par là à défendre l’évolutionnisme !!! ) de telle manière qu’il fournisse un accès plus facile aux flux qui le traversent. » L’article poursuit pages 54 et 55 :

« Poumons humains, plumes d’oiseaux ou craquelures du sol, toutes les structures vivantes ou inertes peuvent donc être désormais réexaminées avec les lunettes de l’ingénieur, en les considérant comme des systèmes énergétiques soumis tout à la fois à des flux, des contraintes et des objectifs. Par exemple, le raisonnement constructal permet d’expliquer pourquoi les diamètres des vaisseaux sanguins de notre corps se réduisent d’un facteur constant à chaque embranchement, pourquoi les oiseaux volent en groupe serré ou encore pourquoi les lits des rivières sont en demi cercle. »

L’article est effectivement très attirant pour un évolutionniste « à la recherche de l’origine de sa vie », et, apparemment, pour expliquer la beauté se la nature… En fait, l’article peut être séduisant au plan de la biologie évolutionniste ; mais en réalité, il ne démontre, objectivement, strictement rien sur l’apparition de ces formes au plan de la génétique moléculaire. Or, on sait de la manière la plus exacte depuis la découverte en 1953 de la double hélice d’ADN par les Docteurs Watson et Crick que c’est bel et bien l’ADN qui est à l’origine biologique et « néonatale » des êtres vivants. Autrement dit, ce théoricien sur l’ingénierie, qui pourrait bien obtenir le Prix Nobel de Physique, et j’en serai fortement heureux, ne fait que du lamarckisme !! Et j’explique là ce qu’est le lamarckisme. Le lamarckisme est une théorie explicative de l’«évolution» des espèces donnée par Monsieur Lamarck en 1809, soit 50 ans avant 1859, année de la publication de l’ouvrage monumental de Charles Darwin ( « De l’Origine des espèces » ). Lamarck affirme que c’est le milieu environnemental qui transforme les formes biologiques et les fait « évoluer » « vers » d’autres espèces… Or, dans la théorie constructale, il s’agit bien de cela ; je cite l’article pages 56 et 57 :

« La forme globale de l’os émerge de la somme d’optimisation locales. Des capteurs mesurent en permanence la pression de l’os et l’obligent à mettre de la matière là où elle est la plus forte ». Ce que je souligne et qui st en caractères gras est le fait d’un raisonnement de magicien, de lamarckiste, de prestidigitateur, et qui n’a rien à voir avec ce qu’on sait de la manière la plus certaine sur l’ADN et la génétique moléculaire ( c’est à dire la succession des molécules d’ADN pour donner l’ensemble des gènes, qui, eux, sont effectivement responsables de la forme biologique, physiologique, anatomique, etc. ), et ce depuis 1953.






FAIT n°4 : On ne comprend plus rien aux bactéries.... Elles ne se comportent pas comme les évolutionnistes croyaient....

http://www.futura-sciences.com/sinformer/n/news2344.php
Des organismes microbiens d’une même espèce, prélevés dans différentes sources chaudes à travers le monde, présenteraient des différences génétiques, indique une étude menée par des chercheurs de l’Université de Californie (Berkeley, Etats-Unis). Cela va à l’encontre de la théorie dominante sur la biodiversité microbienne.
Il est admis dans les sciences de l’évolution que les espèces animales et végétales sont d’autant plus étroitement liées qu’elles sont géographiquement proches. Mais au niveau du monde microbien, la plupart des scientifiques pensent que des règles différentes s’appliquent...... Selon le dogme courant, la diversité des organismes microbiens provient non pas de la distance géographique mais d’environnements spécifiques, rappelle John Taylor, chef du laboratoire où l’étude a été conduite.
Afin de tester cette théorie, les chercheurs ont collecté à travers le monde des échantillons d’un organisme appelé Sulfolobus islandicus, appartenant au domaine archaea, qui se développe dans des environnements extrêmes : sources chaudes géothermales, cheminées de volcan. En tout, les chercheurs ont analysé l’ADN de 78 cultures séparées de Sulfolobus islandicus et ont trouvé des niveaux de différences génétiques petites mais significatives entre les populations vivant dans des régions différentes bien que dans des conditions écologiques similaires.Il n’est pas surprenant que des populations géographiquement isolées évoluent indépendamment, rappelle Rachel Whitaker, membre de l’équipe de chercheurs. Ceci est prédit par la génétique des populations mais n’a jamais été mis en évidence auparavant pour les espèces microbiennes, ajoute-t-elle. L’étude indique de surcroît que les différences génétiques augmentent en corrélation directe avec la distance géographique. Dans le cas où ces conclusions s’appliqueraient à d’autres espèces, cela signifierait que le monde microbien est plus divers que prévu.




FAIT n°5 : Les poissons-clowns sont transsexuels...Pauvre Darwin !

http://permanent.sciencesetavenir.com/sci_20030710.OBS3475. html
Pour prendre la première place laissée vacante au sein du groupe, le petit poisson clown n’hésite pas à se lancer dans une transformation radicale : il change de sexe et de taille. Ces petits poissons rayés vivent en symbiose avec les anémones, se promenant allègrement entre leurs tentacules urticants. Un groupe de poissons clowns est composé d’un couple reproducteur, la femelle étant plus grosse, et la « cheftaine »du clan. Les autres ne participent pas à la reproduction et leur tailles est plus petite, proportionnelle à leur rang. Peter Buston et ses collègues ont constaté que lorsqu ils privaient un groupe de sa femelle, le mâle reproducteur changeait de sexe pour la remplacer !!! Et grossissait en taille. Par un effet de dominos, le mâle le plus gros « qui suit » devient le mâle reproducteur, et chaque poisson qui monte une marche dans la hiérarchie augmente un peu sa taille !!!!!! Ce système empêche tout conflit entre les poissons pour prendre la première place, constatent les auteurs, qui publient leurs observations dans la revue Nature du 10 juillet 2003.