La réponse des évolutionistes ;: article francophone de Wikipedia, l'encyclopédie interactive : voir ici le lien Ci-dessous,
la copie de l'article et mon commentaire en couleur rose, je réponds
point par point à ce contre argumentaire évolutionniste, qui n'a aucune
valeur, si ce n'est de sauver les meubles de l'église évolutionniste.
L'augmentation globale de l'entropie, variable de la thermodynamique quantifiant le désordre statistique d'un système, serait censée interdire l'évolution, qui engendre au contraire la complexité.
Cette affirmation doit être recadrée :
Cette « conclusion » s'applique à l'entropie totale d'un système
fermé, ce que la Terre n'est pas. L'entropie peut diminuer localement
s'il y a échange d'énergie avec un autre endroit où l'on a une
augmentation supérieure de l'entropie : typiquement au niveau du Soleil
dans le cas de la vie sur Terre32. Ou plus précisément dans la transformation du rayonnement solaire reçu par la Terre.
Globalement la Terre reçoit de l'énergie sous une forme plus
« ordonnée » qu'elle n'en réémet : les rayons solaires sont reçus depuis
une zone précise du ciel
(le disque solaire), principalement dans le spectre visible ; alors que
la Terre réémet cette énergie reçue sous forme de rayonnement
infrarouge, par un nombre bien supérieur de photons (~20 fois plus) dans toutes les directions du ciel.
La
clef de voute de l'argument est la "transformation des énergies des
photons. L'auteur parle de transformation, d'où l'idée du Transformisme,
autre nom de l'évolutionnisme. Or, je réponds à cela :
la loi sous-jascente la suivante :
E est l'énergie considérée, exprimée en Joule ; le « Joule » est l'unité de l'énergie (dans l'univers)
h est la constante de Planck (h = 6,626 069 57 x 10-34= J.s-1:)
NU (lettre graecque "v") est le nombre
d'onde, soit l'inverse dde le fréquence du photon considéré : v = 1/T
où T est la fréquence
la « seconde » est l' unité de temps
dns les équation silmples de la physique fondamentale, elle est est un
étalonnage arbitraire puisque dépendant de notre planète, mais pour autant le modèle fonctionne
la« transformation » dont
parle l'auteur est en fait la baisse en valeur de la quantité
d'éngerfie, auterement dit, il s'agit de PERTE d'énergie, c'est à dire
une dégradation. de quantité d'énergie, autrement sit, l'auteur
évolutionniste enfonce une porte ouvrte, l'entropie dégrade le niveau
énergétique et par suite, il y a baisse d'énergie, il ya PERTE, il
s'agit ici de phraséologie, c'est à dire que son exemple ne prouve pas
de tranformation, mais par contre, à son insu, il valide la Loi de
l'Entropie, qui indique effectivement que l'énergie de se perd dans le
temps et l'espace de l'univers (au sens restreint) et donc, il ya perte
quantitative...... Autrement dit, cet argument est complètement vide ! (vacuitaire)
.
Or les êtres vivants sont tous des systèmes « ouverts »
(thermodynamiquement parlant) ; tendant à toutes étapes de leur
existence à s'autoconserver, c'est-à-dire à maintenir leur organisation
interne au détriment (au prix) d'une production continue « d'entropie », « de désordre » (rejets33, chaleur34)
payant ainsi le « tribut » à la règle d'entropie. L'auteur
ici considère les êterzes vuivants et indique qu'ils subissnt la loi de
l'entropie. Exact ! Pour auatant ils survivent et vivent... Il en
déduit dans les lignes qui suivent qu'Entropie et Biologie (générale)
sont concomittantes au plan factuel - factuel ? OUI, mais il la perte
énergétique est compensée par l'INFORMATION CODANTE du Génome... Il ya
donc concomittance de l'entropie et du fait BIOLOGIQIUE, mais l'auteur
oublie tout bonnement la caractéristique principale et la base du
vivant: la présence INFORMATIVE du Génome... La concomittance
factuelle Biologie/Entropie tombe donc complètement à l'eau. Là aussi
l'argument est fallacieux, il s'agit là d'un syllogisme assez subtil
pour tromper les non scientifiques, comme la plupart des lecteurs, mais
le raisoneemnt est faux.
Ils ne sont
aucunement des exceptions à ce principe, contrairement à certaines
affirmations péremptoires prétendument définitives31. De plus, le second principe est un principe général, qui montre qu'un système donné (vivant ou inerte) peut (ou non) fonctionner ; son type interne de fonctionnement est (ou peut être) expliqué par d'autres sciences (chimie, mécanique, électronique…)
La possibilité d'évolution des populations d'êtres vivants est parfaitement conforme au second principe, tout comme leur fonctionnement,
leur développement, leur conservation. Cette possibilité s'intègre
simplement dans cette succession des générations, qui est elle-même
parfaitement conforme au second principe. Ici,
l'auteur enfonce le clou ! --mais au vu de ce qu eje dis juste vant,
le clou est à coté, et la démonstration est sans valeur !
L'évolution ne produit pas directement plus « d'informations » ; il est
très difficile de préciser « l'information » contenue dans les êtres
vivants. Effectivement, il a raison. Du moins le scénario principal le suggère-t-il à l'échelle des
temps géologiques (des centaines de millions aux milliards d'années) ;
comme on l'a vu, cette possibilité est conforme au second principe dans la biosphère. Le questionnement se portant sur la (ou les) manière(s) dont ça c'est produit. LIRE l'article repris plus loin = BIOSPHERE
Il n'est pas immédiat d'assimiler le désordre statistique d'objets indifférenciés et indépendants comme les molécules d'un gaz parfait
et l'entropie au sein d'un système prébiotique comportant différents
constituants en interaction chimique. L'évaluation statistique effective
des configurations les plus probables est bien moins évidente et rien
n'empêche certains constituants de se « construire » aux dépens
d'autres.
Ainsi il est tout à fait faux de prétendre calculer simplement l'apparition de « la vie » en termes de « probabilités » simplistes, comme présenté ici35, ou parfois ailleurs ! Car ce type de calcul simpliste ignore implicitement complètement tous les cadres dans lequel les diverses réactions ont (ou peuvent avoir) lieu : mares, évents, plages, volcans, argiles, impacts météoritiques/cométaires apportant des acides aminés et produisant simplement des peptides…
En gros, toutes les configurations (théoriques) simplement calculées ne
sont pas directement équivalentes, ou même ne pourraient même pas
apparaitre, donc ne sont pas réellement équiprobables. De plus, certains faits présentés comme évidents car observés chez les vivants, comme la chiralité des acides aminés, sont présentés comme un résultat simpliste d'un calcul de probabilité. Ainsi que le fait que les liaisons peptidiques
entre les acides aminés ne sont pas équivalentes à d'autres types de
liaisons, qui elles changeraient la nature des composés considérés. Ceci
est ue afirlmation gratuite qui n'a jamais eu de probation en
laboratoire, ou qulesu part frace aux sonde sptiales. En effet, les
apparitions spontanée de "vie" ou de "brique-éleméntaires" de la vie se
limite à l'apparition d'acides aminés ou à quelques rares protéines, à
dea cides nucléiques et aux coaervats de lipides psudo-celluaire, qui
sotn des mauvais équivalents des cvacuales celeiaiyures....... De plus, une cellule la plus silmple connue eopu la plussimple possible est infiment plus complexe, qu'un acide aminé : ---
comparez un bout d'acier avec avec un véhicule en étart de marche : ya
pas photo... Les Expéreinces de MILLER (1957) qui ont été maintes fois
reprises se limitent au résultat d'apparition d'acides aminés et
nucléotidiques et de rares protéines et de coacevats lipidiques....
Donc l'auteur ici fait du blablabla vide ; l'auteur évolutioniste fait
REVER - mais au plan probatoire en laboratoire, AUCUNE expérience au
monde depuis 1957 n'a validé son affirmation ; ici il fait valoir un
mantra religieux de la religion évolutionnsite (bhabituel en
évolutionnisme)......
Ça occulte totalement tout questionnement que ces faits pourraient
résulter d'un ensemble de processus de sélection et de (re)combinaisons
dans différents systèmes (hypothétiques) qui pourraient se succéder,
rendant totalement caduc ce type de calcul simpliste, présentant ce
résultat comme apparaissant « d'un seul coup » !
Ce type de calcul n'apporte qu'à un nombre (théorique) de
configurations, sans signification physique immédiate, et en aucune
façon une probabilité (globale) d'apparition.
Demeurent toujours certaines interrogations techniques concernant les règles de repliement de protéines ; question centrale dans la théorie probabiliste de l'organisation de la vie36. Les maladies à prion témoignent de l'importance des différentes règles de pliages des protéines. ici
l'auteur fait encore REVER : les prions onrt des structures complexes,
oui. Mais que la structure des protéines considérée soit primaire,
secondaire ou tertitaire ou quaternaire (comme dans les cellules
vivantes donc) ne donne pas de valeur démonstrative à cette fin
d'argument qui donc tombe à l'eau...
La physique comporte déjà plusieurs phénomènes qui peuvent sembler violer le deuxième principe de la thermodynamique si on traduit « entropie » par la notion subjective de « désordre » : avec la formation des étoiles et des galaxies, la nucléosynthèse, l'Univers croît en entropie tout en paraissant plus ordonné.
Iic il s'agit dfer nucléosynthèse et
de fotmation des étoiles, on est très loin des enzymes et des strcutures
infinement fines e t complexes, en fait ingéniérique, et ne relèvent
pas de processus de physique fondamentale stelaire (dotn on se sait eien
, sinon 6--Infio=o/2011 : les tous noirs seraien trégébnrateuirts de
matière hydrogène, d'où un recyvlage des élemnt schimqiue de al finde la
classicfication de Mendelieiev par les Trous Noirs qui
déstrcutureraient le maillage sub-atomique des éléments lourds
constitués auparavant... Ce que dit l'auteur évolutionniste s'inscrit dans LA MATHEMATIQUE IBNTRINSEQUE de l'Univers Infini......... Usurpation !
Il serait plus précis de dire que la matière se présente bien sous forme
de structures plus ordonnées, mais l'Univers dans son ensemble est en
fait globalement plus désordonné, principalement par le rayonnement émis
lors de la formations de ces structures. Conclusion blablabla car j'ai montré qu'aucun des sous-argument cité n'a de valeur démonstrative...