Suite : les 7 méthodes théoriques de « preuve » de base sont faussées

 

Rappel de la page précédente : ci-dessous, les 7 méthodologies de preuves évolutionnistes :

  1. l'anatomie comparative
  2. la génétique moléculaire
  3. les hybridations entre espèces
  4. l’embryologie
  5. la paléontologie et les datations
  6. la géophysique et la Dérive des Continents
  7. la perpétuation des modèles sous peine de se retrouver chômeur, pour les Professionnels de l'Évolutionnisme

 

 

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5 - Cinquième méthodologie de « preuve » :
la paléontologie (science des fossiles) et les datations.

  1. C'est le cinquième argument : il est vraiment très très large et très très important « en masse » d'étude...

    La paléontologie étudie les fossiles présents dans le sol :
    • les paléontologues « à fossiles » cherchent à « dater » les fossiles
    • les paléontologues « physiciens » cherchent à « dater » les roches «brutes» ...

    Or, les fossiles sont la preuve déterminante que retient toute personne, tel qu'un évolutionniste , qu'il soit « lambda », ou bien « professionnel » de l'évolutionnisme.


    Avant de démanteler les syllogismes des Professionnels de l’Évolutionnisme, j'étanche le questionnement du lecteur :
    De manière générale :
    • Dans un contexte créationnaire (athée) de l'arrivée d'astéroïdes dirigés (ou  d'Armes nucléaires),  les strates géologiques et paléontologiques ont été édifiées en suivant un écoulement transversal des matériaux, et non de manière superposée comme on est contraint de le croire d'après le Dogme Évolutionnaire : ces écoulements étaient le contexte du Déluge lancé par les elohim-Créateurs
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    • Cela corrobore le fait que toute strate paléontologique est constituée de fossiles identiques ou appartenant au même biotope



    Je reprends le démantèlement, du raisonnement évolutionnaire :

    La paléontologie est donc basée sur deux fondements, deux postulats, deux méthodologies d’investigation :

    • la première est la chronologie relative
    • la seconde est la chronologie absolue

    Or, elles sont, toutes les deux, complètement fausses : complètement archi-fausses.
    Vous pouvez vérifier l'exactitude absolue de cette liste à la page de WIKIPEDIA

    A) La chronologie relative


    La chronologie relative est l’étude de la disposition et de la morphologie des fossiles à l’intérieur des couches géologiques, qui sont constituées de roches, et qui sont empilées les unes sur les autres, parfois sur des milliers de mètres de « hauteur » ou de « profondeur »...

    Les paléontologues datent les fossiles selon trois principes :

    1. Le premier est le principe de superposition. Celui-ci affirme que toute couche disposée au-dessus d’une autre couche est plus récente que la seconde.
    2. Le deuxième principe est le principe de continuité, qui affirme qu’une même couche géologique est de même époque en tout point de la surface du globe, même à des milliers de kilomètres de distance. - - - - Ces deux principes sont valables car très logiques et très basiques. 
    3. Le troisième principe est plus contestable en soi, et nous allons voir pourquoi. C’est le principe d’« identité paléontologique ».


    Reprenons ces 3 principes :

    1. Le principe d’« identité paléontologique » affirme que des strates ( = couches géologiques ) ayant même contenu paléontologique sont de la même époque.

      Or, afin de dater précisément ces époques, les paléontologues ont choisi et défini des « fossiles caractéristiques » d’époques précises et bien déterminées : ces fossiles bien précis et bien déterminés (les "fossiles caractéristiques") ont une grande répartition (paléo-) géographique* ainsi qu’une grande brièveté d’existence.

      Je décompose ce principe (qui est fallacieux) :

      • Il existe des fossiles caractéristiques de chaque époque géologique, et, en fait de toutes les époques géologiques.
      • Or, il existe une succession de fossiles caractéristiques au travers des couches géologiques.
      • Donc il existe une succession d’époques.
      • Donc les fossiles caractéristiques démontrent la réalité de l’évolution.......

      Mais qui a parlé d’époques ? Qui a dit que les couches géologiques étaient le fait d’époques ? Parler d'époques est unb postulat dogmatoque, il n'est corroboré que par l'adhésion entière à la croyance évolutionniste. Voir dans le site une explication alternative (en milieu de page)

      Les évolutionnistes disent (page 304 de «Paléontologie des vertébrés», édition Dunod Université) que «l’application du principe d’identité paléontologique est souvent délicate », et que « malgré quelques vagues réponses, bien des difficultés demeurent » ; aussi, « il y a complication du problème pour chaque série de couches. » Plus loin, page 310, « à supposer que toutes les difficultés soient résolues, il reste que ce principe est contestable en soi. »

    2. Le principe de continuité : il est toujours applicable

      Ce principe dit qu'une strate situé en dessous d'une autre est plus ancienne que cele située au-dessus : celle est évidnt maklgré les cas d'inversion stratigraphique (suite à des mouvements de terrain)

    3. Le principe d'identité paléontologique
      Cela sous-entend qu'une strate géologique (qui contient des fossiles) est le repère de datation obligatoire avec la seule et unique base le scénario évolutionnaire.
      Mais qui a parlé d’époques ? Qui a dit que les couches géologiques étaient le fait d’époques ? Parler d'époques est un postulat dogmatique, il est seulmement corroboré que par l'adhésion entière et dogmatique  à la croyance évolutionniste. Voir dans le site une
      explication alternative (en milieu de page)

      Les évolutionnistes disent (page 304 de «Paléontologie des vertébrés», édition Dunod Université) que « l’application du principe d’identité paléontologique est souvent délicate », et que « malgré quelques vagues réponses, bien des difficultés demeurent » ; aussi, « il y a complication du problème pour chaque série de couches. » Plus loin, page 310, « à supposer que toutes les difficultés soient résolues, il reste que ce principe est contestable en soi. »

    B) La chronologie absolue


    Quant à la chronologie absolue elle donne des datations en années, en millions d’années, ou en milliers d’années.
    • La méthode de datation la plus célèbre est celle du carbone 14. Elle est basée sur la concentration en carbone 14 par rapport à la concentration en carbone 12.
    • Cette proportion de est basée sur le taux de CO2 atmosphérique, qui, lui-même :
      • est déterminé par le flux de neutrons dans l’atmosphère ( venant du soleil et des étoiles ),
      • et aussi par le champ magnétique terrestre,
      • ainsi que par des paramètres tels que la rapidité d’enfouissement de la matière vivante,
      • et par le taux de radioactivité du-dit carbone 14.

    Les paléontologues évolutionnistes considèrent tous ces 5 taux comme constants. Or, si les équations au début du siècle les considéraient constants, ne'est-il aps envisageable qu'elles ne le soient, pas en fait ? Les données de 2011 montrent qu'elles ne le sont pas.
    Les résultats de datations au carbone 14 sont toujours et extrêmement divergents, on constate souvent une divergence de l’ordre de 600 %.

    Pour parler des 4 autres taux de mesures :
    • le taux de CO2 atmosphérique a pu varier au cours du temps...
    • le champ magnétique terrestre a varié au cours du temps

    Sur les méthodes de datations absolues autres que celles du carbone 14 : celle des roches volcaniques "basiques" (oppossable à "acides") sont trop faibles pour être mesurée. les roches sédimentaires, non plus.

    Ceci dit, on constate la présence d’uranium, dans les couches sédimentaires qu’on n’explique pas.

    Les roches acides (granitiques), leur radioactivité proviennent d’impuretés microscopiques représentant 1% du volume total.
    De plus, ces impuretés sont réparties de manière aléatoire* si bien que des endroits voisins peuvent avoir des radioactivités très différentes, on constate ainsi que le bord d’un massif est plus actif (donc apparemment plus récent) que son intérieur.

    Encore plus ennuyeux...
    La radioactivité est le phénomène physique selon lequel un élément chimique en génère un autre, qui est plus léger, car un ou plusieurs neutrons s’en échappent. La plupart des éléments chimiques sont radioactifs. La radioactivité de la matière est un phénomène physique, c’est-à-dire naturel.
    Appliquée à la paléontologie, ou plutôt la géologie des roches, il est évident qu'il est posible que :
    le radioélément-fils peut être déjà présent dans la roche-mère... et donc augmenter l’âge apparent de cette roche.
    En effet, il n’y a aucun moyen de déterminer si, et combien d’élément fils* était présent dans la roche-mère préalablement à sa formation.
    De toutes façons, un scientifique objectif peut bien se demander ce qu’on mesure !
    Je m'explique :
    En effet, mesure-t-on :
    • la cristallisation primitive (à la formation de la terre) (et, dès lors, il n’est guère étonnant qu’on trouve des dates extrêmement grandes !)
    • ou bien mesure-t-on la dernière cristallisation,
    • ou encore les cristallisations intermédiaires ?
    Personne ne sait ce qu’il mesure en l’occurrence.

    De plus, on constate et on reconnait que les "feldspaths" et les "biotites", entre autres, sont des roches toujours plus jeunes que les roches dans lesquelles elles sont présentes !

    Et enfin, numériquement, on reconnaît officiellement que 55% des datations absolues divergent selon :
    • la région du monde,
    • le minéral quantifié
    • et la méthode elle-même !

    Une donnée célèbre invalidant les datations évolutionnistes : l'éruption en 1873 du volcan Kilauéa ; la datation est reconnue comme absurde par les scientifiques


    Voilà ce qu'on peut lire écrit dans un article de la revue « Science » d’avril 1968, et qui a pour titre « Incertitudes sur les datations absolues » :
    • des scientifiques ont étudié les coulées de laves du volcan sous-marin « Kilauéa » à Hawaï. L’éruption, et donc les roches, remonte à 1000 ans, car les hawaïens s’en souviennent, de par le bouche-à-oreille entre les générations.
    • or, à 550 mètres de profondeur, on date la roche à 220.000 ans ; à 1300 m, de 6 300 000 ans ; à 2590 m, de 42.900.000 ans ; à 3420 m, de 14.100.000 ans; à 4580 m, de 30 300 000 ans ; à 5000 m, de 19.500.000 ans
    • les chercheurs évolutionnistes ont forcément dû expliquer ces faits. Parce que les mesures ont été faites et refaites souvent
      ils y ont réussi, scientifiquement : ces chiffres reconnus officiellement aberrants par les évolutionnistes s’expliquent par la pression hydrostatique,qui elle-même explique la forte concentration en argon 40 ( la « pression hydrostatique » est tout simplement la pression de l’eau à ces profondeurs ).Des études plus précises ont confirmé la cause « aquatique" de ces datations mesurées : à une profondeur précisément de 2590 m (précisément), on a prélèvé et on a « daté » des « carottes » de roches dans l’épaisseur du volcan : voici les résultats :
    • à 1 cm de carottage, on date de 42 900 000 ans, 
    • à 2 cm ; 33.000.000 ans
    • à 4 cm, 4.300.000 ans
    •  à 6,5 cm, 1.500.000 ans
    •  à 11 cm, 1.000.000 ans
    • La pression de l’eau causant, de moins en moins, des dates élevées, celles-ci diminuent avec la profondeur du carottage.


    Ces données sont expliquées par les scientifiques par la présence d'eau sous pression : pression hydrostatique.

    D’autres auteurs établissent les mêmes mesures et aboutissent aux mêmes résultats apparemment aberrants pour l’évolutionnisme :
    (revue « Science » n°161, pages 1132 à 1135, année 1968 ; revue « Science », n°218, page 262).
    C’est donc à la fois deux choses qui sont la cause de ces mesures que les évolutionnistes ne comprennent pas dans un premier temps (de toute façons, ils n'ont jamais rien compris : ça pas plus qu'autre chose) :
    •  la pression de l'eau : variation de l'âge apparent en fonction de la profondeur dans l'océan.
    •  la présence de l’eau : variation de l'âge apparent en fonction de la profondeur dans la roche à laquelle on prélève le morceau de rocher pour toujours une profondeur donnée et donc bien précise.

    Ces datations du « Kilauéa » (volcan ent éruption en 1873) corroborent le Déluge Atomqie des Elohim : celui-ci déclencha la présence d'eau des océans qui furent bouleversés et sans dessus-dessous et sous pression lors de l'édification des couches géologiques Voir cela Edification des couches géologiues


    De manière génrale,

    Le comble du scandale ... Les chronologistes évolutionnistes :
    • un auteur scientifique évolutionniste écrit : « Ainsi, l’échelle de chronologie relative est-elle beaucoup plus précise que celle de la chronologie absolue. »

    Je réponds à cela :
    Comment une échelle relative serait-elle plus précise qu’une échelle absolue ?


    On lit un aussi un passage similaire dans le livre « Paléontologie des Vertébrés » (Editions Dunod-Université) page 16 :
    « Quoiqu’il en soit de ces diverses méthodes, l’étude anatomique des fossiles reste le meilleur outil de datation, et, au final, la meilleure preuve pour prouver l’évolution. » Ce qui signifie exactement que seuls "les fossiles caractéristiques" (voir toujours la même page) peuvent prouver l’évolutionnisme.
    Or, nous avons prouvé dans une page précédente (toujours la même) que ceux-ci n’avaient de légitimité que sur la base d'une croyance aveugle en l'évolution...

    En outre, un certain nombre de grands savants ne considèrent pas les datations habituelles et la paléontologie comme des preuves de l’évolution… (mais ils restent d'obédience évolutionniste).

 

6 - Sixième méthodologie de « preuve » :
la géophysique et la Dérive des Continents.


  • La dérive des continents est prouvée de multiples façons. On en déduit habituellement une lente dérive s’étalant sur 500 millions d’années pendant lesquelles les fossiles se déposent lentement dans les couches géologiques successives.
  • En fait, aucun scientifique ne se met jamais d’accord avec un de ses collègues... Car tous « interprètent » les données de multiples manières, à chacun son école d'interprétation, parce que "les faits ne cadrent pas avec le scénario de l'évolution".
  • Lire le chapitre : http://lifeorigin.free.fr/evolutionnisme_impossible-35.html
    Lien
    : ici (ouverture d'un nouvel onglet)

 

7 -Septième méthodologie de « preuve » :
la perpétuation des modèles

 

  • Je cite :
    « La fixité de la vie dans un monde évoluant par ailleurs, tant dans les domaines scientifiques qu’au plan social [sic !] paraîtrait bien étrange. »
  • « Ces faits et bien d’autres encore imposent (sic) l’idée d’une origine unique de tous les êtres vivants. » Cette phrase est reprise mot pour mot dans le site anti-créationniste d'un astrophysicien belge, Monsieur Christian N.
  • « Personne ne songe à remettre en question l’évolution. » En employant le terme « évolution » et non pas « évolutionnisme », on perd l'objectivité de la science.

 

Au cours de ces 2 pages, j'ai démontré que les preuves de l’évolutionnisme n’existent pas :

  • les 7 « Preuves » de base de l'Évolutionnisme ne sont pas des « Preuves » mais des auto-satisfactions intellectuelles non scientifiques