[Créationnisme scientifique athée]
[Mai 2014] L'existence des pieuvres contredit l’Évolutionnisme. Démonstration.


  • L'étude précise de l’hypothétique 'évolution' des pieuvres met en lumière une idiotie sans nom ;
  • Les Professionnels de l’Évolutionnisme ne peuvent pas résoudre la petite étude qui suit ...






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Supposonjs que la théorie de l’Évolution soit vraie. Et donc les ancêtres des pieuvres existent et vont produire des animaux qui vont posséder les nouvelles caractéristiques proches de celles des pieuvres que l'on connait.
En particulier, il va y avoir apparition des ventouses, comme nouvelle caractéristique, qui à un moment donné de l'Histoire Évolutionnaire, n'existaient pas sur les animaux hypothétiquement ancêtres des pieuvres.
Or, l’article suivant de Science et Avenirs indique qu'il existe un dispositif permettant aux ventouses des pieuvres de ne pas coller entre elles.

L’apparition évolutionnaire d'une ventouse ou de plusieurs ventouses s'est faite : soit graduellement, soit en une seule fois.

source :
http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20140516.OBS7432/video-pourquoi-les-pieuvres-ne-se-collent-pas-a-leurs-propres-ventouses.html

VIDÉO. Pourquoi les pieuvres ne se collent pas à leurs propres ventouses ?

Mehdi Six Publié le 16-05-2014 à 16h28
Une substance chimique produite par la peau de ces céphalopodes empêche leurs ventouses de se coller les unes les autres, selon une récente étude.
 
La peau de ces animaux sous-marins est capable de secréter une substance chimique qui empêche tout contact entre ventouses et corps. JENS KALAENE / DPA / AFP

CONTACT.
Avec quelques centaines de ventouses capables d’attraper n’importe quoi sur chacun de leurs huit bras, il est impressionnant de constater que les pieuvres ne finissent jamais pleines de nœuds, emmêlées sur elles-mêmes. Et pour cause, la peau de ces animaux sous-marins est capable de secréter une substance chimique qui empêche tout contact entre ventouses et corps. Cette ingénieuse prouesse a été observée par des chercheurs israéliens de l’université hébraïque de Jérusalem, qui relatent cette découverte dans la revue Current Biology ce jeudi 15 mai.
Cette capacité à se reconnaître est d’autant plus fascinante que le système cérébral des pieuvres est en réalité incapable de distinguer la position spatiale de leurs bras, à l’inverse des humains. En effet, notre cerveau se représente une "carte" du système moteur et sensoriel, qui lui permet de savoir où se trouvent nos membres à tout instant. Binyamin Hochner, principal co-auteur de l’étude, explique : « Un mécanisme similaire serait difficile à envisager chez la pieuvre, car ses bras sont très longs et flexibles, et disposent d’un degré de liberté infini. ».

Même après amputation, cette propriété persiste

TEST. Dans cette étude, les expérimentateurs ont analysé le comportement de bras de pieuvres amputés, qui restent actifs au moins une heure après séparation. L’équipe a remarqué que les ventouses  ne s’agrippaient pas à des bras intacts alors qu’ils le pouvaient quand des membres dépourvus de peau leurs étaient présentés. Le même constat a été observé lorsque des boîtes de Pétri couvertes de morceaux de peau étaient mis à leur disposition. En revanche, quand des spécimens vivants étaient mis au contact de bras amputés qui ne leur appartenaient pas, les pieuvres pouvaient les saisir. Un exemple qui semble prouver l’auto-reconnaissance incroyable dont sont capables ces animaux.

Une réaction locale induite par la peau

INHIBITEUR. Les auteurs expliquent que les deux tiers du système nerveux des pieuvres sont répartis dans leurs bras. Celui-ci analyse localement les données sensorielles perçus par les huit membres afin de les envoyer au cerveau. Ces derniers sont des organes complexes, contenant chacun plus de 400 récepteurs tactiles. Ce système pourrait expliquer la production d’un inhibiteur qui empêcherait les ventouses d’activer ce mécanisme d’attachement. D’après les conclusions de l’étude, c’est la peau des pieuvres qui synthétiserait cette substance aux propriétés étonnantes. Ce mystérieux composé n’a cependant pas pu être identifié par l’équipe de recherche, qui continue ses travaux afin de l’isoler.