Fausseté des datations en millions d'années

Les datations géologiques reposent sur 3 principes :
  • les 2 premiers sont quasi logiques, et évidents
  • le 3ème principe est basé uniquement sur la croyance évolutionniste elle-même (le principe d'identité paléontologique)

On trouve des datations longues du fait de la pression hydrostatique ( qui n'est pas dû à un Déluge à "eau" de dieu - lire l'explication /// - nouvel onglet ) :
  • présence d'eau lors de la formation des strates
  • mesures officielles aux alentours du volcan Kilauéa (éruption en 1883)
  • mesures faites et refaites tout au long du XXème siècle









Les 3 principes de datations


Cette page est un apartésur les 7 séries de faits comme bases méthodologiques de la probation générale évolutionniste.
Les 6 autres séries de  faits (7 en tout) sont accessibles ici (2 pages)

La paléontologie est basée sur 3 fondements, 3 postulats, 3 méthodologies d’investigation :
  • La première est la chronologie relative
  • La seconde est la chronologie absolue
  • La troisième est le principe d'identité paléontologique
Or, les 2 premiers postulats sont arbitraires ; lees professionels de l'évolutionisme en déduisent les interprétations évolutionnaires habituelles  et sa soi-disante validation :
  • qui dit postulat arbitraires (non vérifiée et d'ailleurs non vérifiables),
    dit déductions ne pouvant valider l'évolutionnisme

Ces 2 postulats sont : ces 2 bases méthodologiques postulent en eux-mêmes que la théorie de l'évolutuion soit vraie ! Ce qui est un comble et un choix méthodologie qui n'est PAS scientifique : ces choix qsont la seule obédiance à la Religion Evolutionniste : pas de science mais religion évolutioniste. Vérifiez ce que je dis là en lisant cette page entièrement...

Vous pouvez vérifier l'existence méthologique de ces 3 postulats à cette page de Wikipedia


Définition puis analyse de la chronologie relative

La chronologie relative est l’étude de la disposition et de la morphologie des fossiles à l’intérieur des couches géologiques*, qui sont constituées de roches, et qui sont empilées les unes sur les autres, parfois sur des milliers de mètres de « hauteur » ou de « profondeur ».

Les paléontologues datent les fossiles selon trois principes :
  1. le principe de superposition : celui-ci affirme que toute couche disposée au-dessus d’une autre couche est plus récente que la second
  2. le principe de continuité: il affirme qu’une couche géologique est de même époque en tout point de la surface du globe, y comprsis à des milliers de kilomètres de distance.i on simplifie, ces 2 principes sont toujours  valables.

    Si on simplifie, ces 2 principes sont toujours  valables.
  3. Le troisième principe est plus contestable en soi, et nous allons voir pourquoi. C’est le principe d’« identité paléontologique ».

    Il affirme que des strates ayant même contenu paléontologique sont de la même époque. Pour dater précisément ces époques, les paléontologues ont choisi et défini des « fossiles caractéristiques » d’époques précises et bien déterminées : ces fossiles bien précis et bien déterminés (les "fossiles caractéristiques") ont une grande répartition (paléo-) géographique ainsi qu’une grande brièveté d’existence.
Qu'en est-il véritablement de ce 3ème principe ?

En réalité, ce principe imposé par la collégilaité évolutionniste, est seulement un postulat  uniquepent valable si l'on admet l'évolutionnisme comme Croyance : et ceci n'est pas de la science, il s'agit d'un a-priori partisan du "hasardoïsme" évolutionniste ...

Décortiquons ce 3ème principe : le principe d'Identité Paléontologique :
  • il existe des fossiles caractéristiques de chaque époque géologique, et, en fait de toutes les époques géologiques.
  • or, il existe une succession de fossiles caractéristiques dans toutes les trates géologiques.
  • donc il existe une succession d’époques.
  • et donc s'il ya sucession d'épques, il yza eu des époques et donc la géologie et la paléontolgie corrobore la réalité de sucession d'époques très longues s'étendnt dsu r des durées extrêmemen longues ;
  • donc la théorie de l'évolution est effectivement valable....
Mais qui a parlé d’époques ? Qui a dit que les couches géologiques étaient le fait d’époques ? Ce principe n’est valable que si l’on croit à l’évolutionnisme, c’est à dire à la succession d’époques correpondant à toute strate géologique.

Or, les grands théoriciens de la géologie savent que :

  • « l’application du principe d’identité paléontologique est souvent délicate » (page 304 de «Paléontologie des vertébrés», édition Dunod Université)
  • « malgré quelques vagues réponses, bien des difficultés demeurent » (page 304)
  • « il y a complication du problème pour chaque série de couches. » (page 304)
  • page 310, « à supposer que toutes les difficultés soient résolues, il reste que ce principe est contestable en soi. »

Un fait bien connu :
la datation scientifique du Kilauéa de 1968 est OFFICIELLEMENT absurde



Des scientifiques ont étudié les coulées de laves du volcan sous-marin « Kilauéa » à Hawaï. L’éruption, et donc les roches, remonte à 1000 ans, car les hawaïens s’en souviennent, de par le bouche-à-oreille entre les générations.
Or, à 550 mètres de profondeur, on date la roche à 220.000 ans ; à 1300 m, de 6 300 000 ans ; à 2590 m, de 42.900.000 ans ; à 3420 m, de 14.100.000 ans; à 4580 m, de 30 300 000 ans ; à 5000 m, de 19.500.000 ans.
Les chercheurs évolutionnistes ont forcément dû expliquer ces faits. Parce que les mesures ont été faites et refaites souvent.....
Ils y ont réussi,
scientifiquement.
Ces chiffres reconnus officiellement aberrants par les évolutionnistes s’expliquent par la pression hydrostatique,qui elle-même explique la forte concentration en argon 40 ( la « pression hydrostatique » est tout simplement la pression de l’eau à ces profondeurs ).
Des études plus précises ont confirmé la cause « aquatique" de ces datations mesurées :
J'explique donc les études plus précises.
A une profondeur précisément de 2590 m (précisément), on a prélèvé et on a « daté » des « carottes » de roches dans l’épaisseur du volcan : et les résultats de datations pour des épaisseurs graduelles (toujours à - 2590 mètres de profondeur) donnent encore des absurdités pour l’évolutionnisme:
  •  2590 m de profondeur :
    • à 1 cm de carottage, on date de 42 900 000 ans
    • à 2 cm ; 33.000.000 ans
    • à 4 cm, 4.300.000 ans
    • à 6,5 cm, 1.500.000 ans
    • à 11 cm, 1.000.000 ans
    • La pression de l’eau causant, de moins en moins, des dates élevées, celles-ci diminuent avec la profondeur du carottage.

Ces données deviennent donc explicables et simples par la présence de l'eau au moment de la formation de roches en question... C’est cohérent et vérifiable avec rigueur que (premièrement) l'eau et (deuxièmement) la pression de l'eau (pression hydrostatique) sont responsables de ces mesures aberrantes.
D’autres auteurs établissent les mêmes mesures et aboutissent aux mêmes résultats apparemment aberrants pour l’évolutionnisme :
(revue « Science » n°161, pages 1132 à 1135, année 1968 ; revue « Science », n°218, page 262).
Il y a donc 2 causes à ces datations aberrantes :
  • la pression de l'eau : variation de l'âge apparent en fonction de la profondeur dans l'océan.
  • la présence de l’eau : variation de l'âge apparent en fonction de la profondeur dans la roche à laquelle on prélève le morceau de rocher pour toujours une profondeur donnée et donc bien précise.